Paraît que la lumière fut. Je voudrais bien voir ça.
Quand quelqu'un vient te parler la nuit, pas besoin d'être attentif aux paroles.
Il s'est dit tellement de choses depuis que le langage existe, tellement d'arguties.
Esquisse un sourire si tu peux. Va comme je te pousse. Ou rêve au soleil. Ou perds la boussole.
Surtout ne comprends rien, ça ne t'aiderait pas.
C'est l'absolu qui le détraque, l'esprit.
Mais y a moyen d'en guérir: Serrer les poings dans tes poches, tout mettre en abîme.
Apparaître sur le trottoir, en plein jour.
"C'est l'absolu qui le détraque"... citation de Jacques Rivière, extrait de sa correspondance avec Antonin Artaud.
RépondreSupprimerLa belle manière Carl Poulin. Nice.
RépondreSupprimerune question de "perception" peut-être. ne pas savoir l'absolu, et être cloitré dedans. comme une mouche prise dans de l'ambre. comme si le monde était du miel collant tout autour de toi, qui te prendrait dans sa toile. l'asphyxie ressentie de l'intérieur. et chaque liaison reste comme une frontière infranchissable. car il y a tout ce contenu intérieur qui chercherait des ouvertures, un peu comme la lave en ébullition sous la croute terrestre. mais au fil du temps, la source se tarit. et la fusion se congèle. se fige. on t'a empêché de vivre. et tu es mort sans avoir vécu.
RépondreSupprimerpauvre maikeresse. ignoble savante inhibée par ses froideurs transcendentales. la peur d'exister jusqu'à la lie. tu aurais dû laisser faire les choses. de petites explosions, par-ci, par là. ce que tu contiens ressurgira. ne m'accuses pas d'antimatière, steuplait. reine de la création. j'inhibe moi-même ton contenu négatif. mon trou intérieur. merchi. pour ton éducachion.
RépondreSupprimermenteuse.
je ne sais pas pourquoi j'aime cette chanson. ou que l'échos du souvenir de l'avoir "aimée" me revient. c'était comme le message déjà mort-né de notre trahison consommée. pourquoi m'as tu menti à ce point, et pourquoi acceptai-je ton mensonge en attendant une réaction de ta part, alors que tu n'étais que ce transfuge émané de la tour de contrôle ? je les ai observé m'observer durant des années sans qu'ils ne percent jamais le "secret". et le secret caché était qu'il n'y avait jamais eu de secret, sinon le vide de cette attentante désincarnée. bannie. morte. désabusée par elle-même. trompée par les apparences, ou...
RépondreSupprimerles cierges en rut qu'ils rééduquent avec leur diabète, leur cancer, toutes leurs addictions inhibitrices. l'épilepsie. l'explication facile du DNA, à laquelle personne ne comprend rien, de l'armée d'esclaves sous éduquée à qui l'on donne des indices calculés dans le sens d'une science toujours maitrisée, orientée par ce qui "savent", et veulent garder le secret... en vue de...
etcetc...
en fait, à l'époque ou j'ai "aimée" cette chanson, c'était parce qu'elle incarnait encore une fissure possible. il restait peut-être encore une possibilité. comme toujours. il reste TOUJOURS une possibilité. mais les cancres des savoirs et des livres irriguaient déjà de leur science mortifèrent tous les canaux promis par l'hallucination d'un seul à qui ils faisaient échos en devenant Sa prophétie. car ils y avaient cru. et ils se recentraient en Son message en annihilant tous les "déviants" à la ronde. et je ne suis qu'un cloitré banni en ce monde, qui aurait aimé irriguer sa propre voie... qui existe peut-être, ailleurs, dans un autre embranchement des possibles cumulés par les strates parallèles.
RépondreSupprimerun jour, nous les percerons. car il reste ce petit sourire-rictus en nous, comme venant se grapper du bas du cervelet qu'ils calculent toujours. reflexe. nous ne sommes ni la vie ni la mort. héhé! mais ce petit rictus. en cherchant à le rendre immobile, ils créeront toujours ce petit machin en plus qui transcendra leur propre momie d'existence en supens : "pourquoi suis-je là, que fais-je ?" héhé! et en annihilant cette question dans leur solfège, ils ne feront que créer une harmonie de plus. comme nous. comme eux qu'ils renient et qui est nous, héhé! dans le DNA, dans le dénie, dans le trottoir pourri et les neiges dans les champs... héhé!
RépondreSupprimeret oui, nous sommes "malins".
RépondreSupprimer;)
nous sommes la vie qui ricane et jouit quand tu cherches encore des réponses au malheur dont tu es toi-même responsable du haut de ton existence de "naquit au monde". et tu n'as pas chosi mais moi, je bois. et je suis transcendé dans cette matrice par le reflet de marie, et de chambre, et de claire, et de tous ces halalis vitaux qui irriguent nos conneries intrinsèques...
RépondreSupprimertoute cette poussière sur le sol, et tous ces papillons de nuit, et lionel médou qui bande pour sa conne de marine, et tous les arabes des siècles, et tous les aryens vindicatifs, ou simples, ou crevant dans la neige comme béno... héhé! bordel!
c'est ça la vie!!!
feuilles d'herbes est vivant, il chante le soi-même-toi du bas de sa cage de chinze savant!!!
RépondreSupprimeril aime helenablue d'un amour de falsification vivante comme le dénie, la prison, l'enculage comme preuve de supériorité sous la douche, les trottoirs frères dans lesquels tu déverses ton existence exangue un soir d'abandon du monde, la chanson, le délire... le par-terre qui chante la vie alors que ta main de solitude bannie se colle contre son spasme de fraicheur encore vivante. les petits mots. la solitude. les conversations intellectuelle qu'on sait déjà contradictoire dans le sens même qu'elles recherchent... le chant de l'halali créateur d'une mémoire difuse, pas fortcément retransmissible par des "mots", ces ignares qui sondent l'indicible en se posant dessus comme des erzats d'êtres anémiés se cherchant dans la fonction de "preuve"... héhéhé!!
je t'aime.
en fait, je suis l'indicible.
RépondreSupprimerhéhé!
joyeux comme le charnier qui voit en lui-même renaitre toutes ces fleurs et tous ces vers...
joyeux!
joyeux!
i am joy, bébi, are you joan ?
http://www.youtube.com/watch?v=wjRdqULYFwI
en fait, artaud était crispé par le jugement figé sur ses maladies vénériennes. on aurait dû le déficeler de la dedans. il en a fait tout un steak. on a appelé ça de l'art, alors que ce n'était qu'un mensonge se regardant le nombril en vue d'une perte, évidament, car il n'y avait aucune libération à la fin... et oui.
RépondreSupprimerle dénie
chuis pas dupe
bise
artaud mentait, en fait. aussi décharné fut-il.
RépondreSupprimeril oubliait sa merde en en parlant.
en l'exposant.
ça lui faisait du bien, en pure perte.
le seul être vivant fut marie-charlotte piérard.
une petite conne qui s'amusait avec mes défaux.
http://www.youtube.com/watch?v=CBqcwZAjXvw
une fois, je me suis suicidé en laissant en boucle chanter cette chanson dans mon lecteur msn (j'avais encore msn à l'époque, et me perdais dedans en messages) :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=GXBqFwxCSGQ
et c'est toujours plus beau que tout billie holiday en moi, cette chanson... parce que ça raconte la vérité permanente à côté de laquelle les gens qui "vivent" passent en permanence... je ne sais pas s'ils "refoulent", ou acceptent avec "philosophie" leur sort.
je ne sais pas.
j'étais déjà au 27 quand l'autre me demandait de passer du 23 au 24.
RépondreSupprimerc'est ainsi. décalage.
dom croit encore que je veux la berner.
RépondreSupprimerla pauvre
la confiance intégrale n'existe que dans la déliquification de la mort, et encore. si de petits connards ont insinué en toi le doute, tu crèvera même pas tranquille, sur ton tapis de fougères désiré. au milieu des moisissures et des champignons des sous bois. alors qu'une biche s'arrête et pense, à dix mètres, alors qu'elle broutait en ignorant ta présence...
RépondreSupprimerchépas. les gens devraient mourir tranquillement.
http://www.youtube.com/watch?v=Zxr5ZOXJW8g&feature=related
on devrait arrêter de les emmerder avec leur sort, ou leur "destin". les laisser tranquilles. dans leur sous-bois. comme le vieux :
http://www.youtube.com/watch?v=QwgnDn8ez9g
bise
j'aime bien :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=gjSsXTtr80U
http://www.youtube.com/watch?v=Mp52G4hC2AI
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=m-XY2icNZow
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=xg5Mzl1aE0c&feature=related
RépondreSupprimerbise
http://www.youtube.com/watch?v=u3euv5jralU&feature=related
RépondreSupprimerchuis déçu, brassens était homophobe.
RépondreSupprimersale con.
http://www.youtube.com/watch?v=8-CbH8AD1O0&feature=related
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=ywfkhSJ5yXE
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=aIXW8I_j3yE
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=02ddwvmLHkQ
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=p-ZI28nbSDQ&feature=related
RépondreSupprimer"Entre la coupe et les lèvres, il y a la mort"
RépondreSupprimerAdios. Bise.
adieu!
RépondreSupprimerdangereux de lire les commentaires du dessus ?
RépondreSupprimerje préfèrerais me marier avec toi, à condition que tu renonces à toutes formes de sentiments d'indépendance, ou de volonté..
RépondreSupprimerBah, tu dis ça juste pour rendre jalouse la Rouge.
RépondreSupprimeroui. mais je n'y avais pas pensé.
RépondreSupprimerje me sens comme une mangue avec comme seul paradis du ciel comme entrevue avec le ridicule.
RépondreSupprimermerde tiens. tu es comme un flash gordon pour moué, merci :
http://www.youtube.com/watch?v=_WJ-thmHMVI