à mon avis, vue la gueule de ton art, si on se rencontrait dans la vie, t'aurais peut-être un tantinet tendance à te faire chier en ma présence. ou à me prendre pour un porc inconscient. ou à désirer me pourfendre la colonne vertébralement osseuse à grand coups de couperets, ou alors, 30 minutes plus tard, à accepter un thé de ma part... mais moi aussi j'aurais changé, entre temps, avec la rapidité d'une étincelle gelée! biensur!
tes dessins, ils disent les choses qu'on comprend dans un flash de lucidité, avant de redevenir un con et jouisseur égotique de merde. l'absurdité reste indélébile de tout
y'a l'humilité de la force dans tes dessins, et en même temps, le désespoir du dérisoire, et toute la cruauté du subi
je ne t'atteindrai pas dans cette vie, à moins d'être déporté un jour à dachau
y'a toujours le sens (la cruauté et la souffrance), et en même temps, aucun sens. tu restes perché par l'univers. tu ne te résous pas à adhérer au regard prédéfini.
c'est pour ça que c'est grand
il y a une non-réponse, qui implique une recherche, l'intérrogation, un truc d'irrésolu
tes dessins sont des êtres vivants, je crois. pi les multidimenssions sont exactement bien retranscrites. on sait pas ce que c'est qui tourne autour, mais c'est là.
en tous cas, moi, chaque fois, ça me fait un déclic. y'a un truc de familier et que je comprends pas, dedans, même si ça reste "moi", quelQUE PART? VOILA;
Je trouve ces dessins fantastiques. Ils m'inspirent beaucoup pour écrire ma thèse. J'y vois des individus traversés par des contraintes sociales, des normes, de l'auto-imposition et le désir de laisser aller, de s'émanciper, de s'ouvrir et de se regarder soi-même, construit tel quel.
J'aimerais bien en mettre un sur le mur de mon bureau de travail. Est-ce que ça serait possible ?
si tu veux, tu amènes un de tes originaux chez moi (en fait, je viens de me dire que tu devrais peut-être te mettre à l'encre de chine sur peau de chamois, comme dans les étuits à lunettes, chépapourkoi), et en échange, je te prépare une bonne assiette de spaghettis à l'huile d'olive. pi j'ai une guitare....
Superbes ces dessins au trait! Si vous saviez à quel point j'aime les traits tremblotants et aie horreur de tout ce qui fait vectoriel, manga... Vous les faîtes sans lever la main, ou c'est une impression?
Quel style ! Je me souviens maintenant que tu as étudié l'art en même temps et au même endroit que Eldiablo. Un style très personnel et inspirant. J'aime bien.
jp (afin d'enculer définitivement les téléchargements de fichiers zip)7 juin 2013 à 22:11
Jim Morrison, Jimi Hendrix find themselves at New York City's Scene Club in 1968. What do you they do? They jam! Morrison is clearly wasted and sings some interesting lyrics ("Morrison's Lament"). This is the kind of bootleg they'll never release. Its historical, funny, and cool to puton at parties no one else has heard it.
jp (afin d'enculer définitivement les téléchargements de fichiers zip)7 juin 2013 à 22:28
tsé, les spaghettis à l'huile d'olive t'es pas obligé d'aimer ça, à la base mais si tu pouvvais faire l'effort d'ingurgiter tout ça sans faire trop de grimaces ça nous arrangerait vachement pour l'organisation de notre emploi du temps
+ couille qui glisse sur un trépied de micro défonceur de haine ciel image de fermeture éclair de braguette de jean petite nana nue et défoncée par des plus gros males qu'elle dans une scène de viol dégueulasse gateau-chantilly protubérant exégèse nauséabonde d'un article de lester bangs à propos d'un album de nico peur honte maléfice intentionné et prescrit par un tier afin de stimuler la production de choses
+ ta tête riante marie et ton oubli de moi ton seul amoureux réel et définitivement seul qui ait jamais existé
à mon avis, vue la gueule de ton art, si on se rencontrait dans la vie, t'aurais peut-être un tantinet tendance à te faire chier en ma présence. ou à me prendre pour un porc inconscient. ou à désirer me pourfendre la colonne vertébralement osseuse à grand coups de couperets, ou alors, 30 minutes plus tard, à accepter un thé de ma part... mais moi aussi j'aurais changé, entre temps, avec la rapidité d'une étincelle gelée! biensur!
RépondreSupprimertes dessins, ils disent les choses qu'on comprend dans un flash de lucidité, avant de redevenir un con et jouisseur égotique de merde. l'absurdité reste indélébile de tout
RépondreSupprimery'a l'humilité de la force dans tes dessins, et en même temps, le désespoir du dérisoire, et toute la cruauté du subi
je ne t'atteindrai pas dans cette vie, à moins d'être déporté un jour à dachau
y'a toujours le sens (la cruauté et la souffrance), et en même temps, aucun sens. tu restes perché par l'univers. tu ne te résous pas à adhérer au regard prédéfini.
RépondreSupprimerc'est pour ça que c'est grand
il y a une non-réponse, qui implique une recherche, l'intérrogation, un truc d'irrésolu
tu es positif, en fait
c'est peut-être con ce que je dis, mais c'est l'effet que me font tes dessins.
RépondreSupprimerils ont une ame, en gros, je crois.
allé!
en fait, ils existent.
RépondreSupprimertes dessins sont des êtres vivants, je crois.
pi les multidimenssions sont exactement bien retranscrites. on sait pas ce que c'est qui tourne autour, mais c'est là.
en tous cas, moi, chaque fois, ça me fait un déclic. y'a un truc de familier et que je comprends pas, dedans, même si ça reste "moi", quelQUE PART? VOILA;
allé!
tu cherches à échapper à la souffrance, dans tes dessins.
RépondreSupprimerc'est pour ça que ça veut dire quelque chose, peut-être.
y'a toujours la souffrance, dans les sujets exposés, mais aussi, toujours, la quête d'un ailleurs. c'est un mouvement, ou une volonté positive.
tu n'as pas abandonné. tu es vivant, en fait.
y'a toujours une possibilité d'autre chose. malgré le malheur. dans tes dessins.
RépondreSupprimerc'est pour cette raison qu'ils restent vivants.
ils sont étranges et morbides, mais ils font du bien, aussi, je crois.
RépondreSupprimeril dépassent la mort
RépondreSupprimervoilà. ils ont captée une autre dimension.
le diffus qu'on y retrouve tient de la transcendance.
RépondreSupprimeradieu!
pour que les chants te parviennent dans ta gnose, et te fassent frétiller de l'échine :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=BAzm0eEANMQ
Dis-donc, ça fait plaisir tes commentaires... Quand c'est qu'on trinque?
RépondreSupprimerquand j'aurais décuvé ?
RépondreSupprimerreste beau, c'est tout ce que demande le père :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=ZVITZUQ_uIU
bise
Je trouve ces dessins fantastiques. Ils m'inspirent beaucoup pour écrire ma thèse.
RépondreSupprimerJ'y vois des individus traversés par des contraintes sociales, des normes, de l'auto-imposition et le désir de laisser aller, de s'émanciper, de s'ouvrir et de se regarder soi-même, construit tel quel.
J'aimerais bien en mettre un sur le mur de mon bureau de travail. Est-ce que ça serait possible ?
BainRose
si tu veux, tu amènes un de tes originaux chez moi (en fait, je viens de me dire que tu devrais peut-être te mettre à l'encre de chine sur peau de chamois, comme dans les étuits à lunettes, chépapourkoi), et en échange, je te prépare une bonne assiette de spaghettis à l'huile d'olive. pi j'ai une guitare....
RépondreSupprimerChépas.
RépondreSupprimerSuperbes ces dessins au trait!
RépondreSupprimerSi vous saviez à quel point j'aime les traits tremblotants et aie horreur de tout ce qui fait vectoriel, manga...
Vous les faîtes sans lever la main, ou c'est une impression?
Je lève la main parfois, mais pas souvent. Il m'arrive de fermer les yeux une seconde ou deux. C'est tout à l'instinct.
RépondreSupprimerMerci de vos commentaires :)
Quel style ! Je me souviens maintenant que tu as étudié l'art en même temps et au même endroit que Eldiablo. Un style très personnel et inspirant. J'aime bien.
RépondreSupprimerMerci!
RépondreSupprimerJim Morrison, Jimi Hendrix find themselves at New York City's Scene Club in 1968. What do you they do? They jam! Morrison is clearly wasted and sings some interesting lyrics ("Morrison's Lament"). This is the kind of bootleg they'll never release. Its historical, funny, and cool to puton at parties no one else has heard it.
RépondreSupprimerhttp://rapidshare.com/files/24780832/Jimi_27s.zip
tsé, les spaghettis à l'huile d'olive
RépondreSupprimert'es pas obligé d'aimer ça, à la base
mais si tu pouvvais faire l'effort d'ingurgiter tout ça sans faire trop de grimaces
ça nous arrangerait vachement pour l'organisation de notre emploi du temps
+ couille qui glisse sur un trépied de micro défonceur de haine
ciel
image de fermeture éclair de braguette de jean
petite nana nue et défoncée par des plus gros males qu'elle dans une scène de viol dégueulasse
gateau-chantilly protubérant
exégèse nauséabonde d'un article de lester bangs à propos d'un album de nico
peur
honte
maléfice intentionné et prescrit par un tier afin de stimuler la production de choses
+ ta tête riante
marie
et ton oubli de moi
ton seul amoureux réel et définitivement seul
qui ait jamais existé
pshhh!!!